Avec ELOFICASH, Générale de Santé, N°1 français de l’hospitalisation privée, soigne le recouvrement des factures « en souffrance »
Un taux de recouvrement de plus de 80% des impayés couplé à un gain de l’ordre de 5 millions d’euros par an en terme de trésorerie via une réduction drastique des intérêts, agios et frais bancaires, le CSP de Générale de Santé démontre son efficacité. Tour d’horizon des clés du succès de ce projet de cash management avec la Responsable du Recouvrement du CSP, Corinne ROISIN.
Quel est votre rôle au sein de Générale de Santé ?
Centre de Services Partagés, notre mission principale s’avère de diminuer le délai de recouvrement des factures selon les payeurs concernés – régimes obligatoires, régimes complémentaires et patients – et de limiter de manière drastique les irrécouvrables de nos 75 établissements de soins (0.20 % de pertes sur CA par an, soit 99.80 % de facturation encaissée). Notre département, composé d’une dizaine de collaborateurs, dispose d’une véritable « culture du cash » en termes d’organisation, de process et d’outil pour gérer la relance des factures en souffrance, soient 500 000 courriers de relance envoyés et 200 000 actions menées par an.
Au delà de la volumétrie, avez –vous des spécificités métiers ?
Effectivement, pôle recouvrement du N°1 français de l’hospitalisation privée oblige, nous avons à gérer des millions de factures, qui peuvent disposer de centaines de lignes comptables, correspondant aux soins et traitements apportés. A cela s’ajoute que nous devons adapter nos process et nos relances selon trois profils de payeurs – la Sécurité Sociale, les Mutuelles et les patients – en veillant scrupuleusement aux délais de prescription de recouvrement, un an pour la Sécurité Sociale et deux ans maximum pour les mutuelles.
Face à ces enjeux, quelle réponse technologique avez-vous privilégié ?
Outre de simplifier le traitement de nos volumes et d’accroître la productivité de chacun, nous voulions mettre en place des process d’automatisation des tâches et de dématérialisation des documents inhérents. A ce titre, nous avons fait le choix de la solution logicielle de cash management ELOFICASH, commercialisée par COVLINE, qui s’illustrait par sa convivialité, sa simplicité et son adaptabilité, gages d’une réponse rapidement opérationnelle. Preuve en est, nos collaborateurs l’ont vite adopté, tant pour la fiabilité des données que pour la vitesse de traitement des tâches, surtout dans l’envoi d’e-mails et de courriers de relance.
Quels sont aujourd’hui les bénéfices tangibles de la solution ELOFICASH ?
Nous avons considérablement gagné en efficacité dans nos relances. Avec ELOFICASH, nous bénéficions d’une traçabilité « sans faille » de chaque dossier, où toutes les informations, documents attachés et actions menées sont centralisés. Les patients sont plus vite relancés, les régimes obligatoires et complémentaires, sollicités dans les délais. Le recouvrement de plus de 80% de nos impayés parle de lui-même sur notre efficacité actuelle.
Quels en sont les principaux atouts pour vos collaborateurs et votre département ?
Notre équipe, divisée en trois pôles selon les payeurs ciblés, dispose de données fiables, réactualisées automatiquement chaque nuit, et d’une liste de tâches à réaliser pour chaque dossier à traiter. Chaque collaborateur se concentre sur sa relance, en réalisant en quelques clics les tâches administratives inhérentes, et dispose d’une vue à 360° de l’avancée du règlement de la créance. Il n’y plus de tâches administratives chronophages et d’oublis. De plus, en cas de pic d’activité d’un pôle, nos collaborateurs se révèlent facilement polyvalents.
Quelles sont les prochaines évolutions prévues ?
Afin d’aller encore plus loin dans l’optimisation de notre trésorerie, nous envisageons, à partir de la solution ELOFICASH, de segmenter, de manière plus fine, la gestion de nos dossiers recouvrements, en fonction de la valeur, de la date d’échéance… L’objectif est de mettre en place des stratégies de relances toujours plus efficientes, selon des règles de priorité, afin de nous attaquer aux 20% d’impayés restants. Une nouvelle fois, la solution logicielle Eloficash son équipe nous accompagneront dans ce nouveau challenge.
Générale de Santé – Mission et chiffres
Premier Groupe privé de soins et services à la santé, Générale de Santé compte 19 000 salariés dont 7 000 infirmier(e)s et 4 000 aides soignant(e)s dans 75 établissements et centres. Avec près de 4 500 praticiens, elle représente la première communauté libérale de France. En savoir plus : www.generale‐ de‐ sante.fr
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